Informations rapides
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Adresse : Place Sultanahmet, Istanbul, Turquie
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Durée recommandée : 1-2 heures
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Timings: Ouvert 24h/XNUMX (entrée gratuite)
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Visiteurs par an : Plus de 2 millions
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Prix du billet: Essai gratuit
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Nombre d'entrées : Plusieurs portes d'importance historique, dont la loge de l'empereur
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Temps d'attente prévu : Pas d'attente (standard), pas d'attente (coupe-file)
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Année de l'UNESCO : Une partie des zones historiques d'Istanbul, désignée en 1985
Le saviez-vous?
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L'Hippodrome avait la capacité d'accueillir 100,000 XNUMX spectateurs
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Il abritait plusieurs monuments clés, dont l'obélisque de Théodose et la colonne du Serpent.
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Des factions politiques comme les Bleus et les Verts y exerçaient une influence considérable.
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La colonne vertébrale centrale, connue sous le nom de Spina, était le point central des courses de chars.

Le terme Hippodrome est dérivé des mots grecs "hippopotames" (cheval) et "dromos" (course ou parcours), signifiant "hippodrome"À l'origine, il faisait référence à de grandes salles en plein air conçues pour les courses de chevaux et de chars dans les anciennes cités grecques et romaines.
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Centre culturel
Au-delà de sa fonction première d'hippodrome, l'hippodrome servait de centre pour activités sociales, politiques et culturellesIl accueillait des rassemblements publics, des cérémonies religieuses et parfois même des confrontations politiques.
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Symbole du pouvoir impérial
Dans l’Empire byzantin, en particulier dans ConstantinopleL'hippodrome était un espace essentiel pour démontrer l'autorité impériale. Les empereurs l'utilisaient pour des apparitions publiques, des défilés militaires et des célébrations.
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Caractéristiques architecturales
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Spina:La barrière centrale qui longe le milieu de la piste, souvent ornée de monuments et de sculptures.
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Carcères:Les portes de départ des chars.
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Cavea:Les sièges réservés aux spectateurs, souvent disposés en gradins pour accueillir des milliers de personnes.
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Utilisation moderne
Dans les contextes modernes, le terme « hippodrome » peut désigner des lieux de courses de chevaux ou même de représentations théâtrales, s’inspirant de sa multifonctionnalité historique.
Le Hippodrome de Constantinople, aujourd'hui situé sur la place Sultanahmet à Istanbul, a été construit à l'origine par L'empereur Septime Sévère en 203 après J.-C. Il a ensuite été agrandi et transformé par Empereur Constantin le Grand vers 324 après J.-C., lorsqu'il fit de Byzance la nouvelle capitale de l'Empire romain et la rebaptisa ConstantinopleL'Hippodrome est devenu le cœur de la vie publique de la ville, capable de supporter Spectateurs 100,000. Ce n'était pas seulement un lieu de compétition sportive, mais aussi un espace de rassemblements politiques, de célébrations et de cérémonies publiques. Tout au long de l'histoire byzantine, il servit de scène à la fois à la grandeur impériale et aux troubles publics.

La construction de l'hippodrome
Le Hippodrome de Constantinople était l'un des plus grands monuments de l'Empire byzantin. Il a été construit pour accueillir courses de chars, une forme de divertissement populaire, mais c'est aussi devenu un lieu de rassemblements politiques, cérémonies impériales et manifestations publiquesVoici l’histoire de sa construction et de son développement au fil du temps.
Premières constructions de Septime Sévère
La première version de l'Hippodrome a été construite en 203 AD by L'empereur Septime Sévère. À cette époque, Constantinople était connue sous le nom de Byzance, une petite ville relativement sans importance dans l'Empire romain. Sévère voulait améliorer la ville et la rendre plus impressionnante, il a donc décidé de construire un hippodrome pour Course de char, qui était l’un des sports les plus populaires du monde romain.
Cet ancien hippodrome n'était pas aussi grand que celui que nous connaissons aujourd'hui. Il était doté de structures de base pour les courses et de quelques sièges pour le public. Il posait cependant les bases de ce qui allait devenir une magnifique arène.
Expansion par Constantin le Grand
La véritable transformation de l'Hippodrome s'est produite sous Empereur Constantin le Grand in 324 AD. Après avoir décidé de faire de Byzance la nouvelle capitale de l'Empire romain, il la rebaptisa Constantinople et a commencé à construire de grandes structures pour correspondre à son nouveau statut.
Constantin agrandit l'hippodrome pour en faire l'un des plus grands et des plus impressionnants de l'empire. Le nouvel hippodrome pouvait accueillir jusqu'à Spectateurs 100,000, ce qui en fait un élément central de la vie publique de la ville. Il a été conçu avec une forme ovale et longue, semblable à d'autres pistes de course romaines. La piste était entourée de sièges à gradins, où les gens de toutes les classes sociales pouvaient assister aux courses.
Au centre de la piste se trouvait le Spina, une longue barrière décorée de statues, colonnes et monuments. L'un de ces monuments était le Colonne du serpent, ramené de Delphes en Grèce.
Symbole du pouvoir impérial
L'hippodrome n'était pas seulement un lieu de compétition, c'était un lieu où l'empereur pouvait montrer son pouvoir. Il assistait aux courses, assis dans une loge spéciale appelée Kathisme, qui était directement relié au palais impérial. De là, il pouvait assister aux jeux et être vu par le peuple.
L'Hippodrome a également accueilli cérémonies impériales, comme les défilés militaires et les célébrations de victoires. Elle devint le théâtre d'annonces publiques importantes et même de confrontations politiques.
Legacy
La construction et l'agrandissement de l'hippodrome en ont fait un symbole de la grandeur de Constantinople. Pendant des siècles, il a été le cœur de la vie publique de la ville. Bien qu'une grande partie de l'hippodrome ait disparu aujourd'hui, son héritage perdure Place Sultanahmet, où se dressent encore certains de ses monuments. L'histoire de sa construction montre comment les empereurs ont utilisé l'architecture pour façonner à la fois la ville et leur propre pouvoir.
La révolte de Nika (532)
Le Révolte de Nika fut l'un des soulèvements les plus violents et les plus destructeurs de l'histoire de l'Empire byzantin. Il eut lieu en 532 AD, sous le règne de Empereur Justinien Ier, et a failli lui coûter son trône. Voici l'histoire complète de ce qui s'est passé.
Le début de la révolte
La révolte a commencé lors d'une course de chars dans le Hippodrome de ConstantinopleÀ cette époque, les habitants de la ville étaient divisés en deux groupes principaux, ou factions: la Blues et de la Légumes vertsCes factions étaient à l'origine basées sur le soutien aux équipes de chars, mais au fil du temps, elles sont également devenues des groupes politiques.
En janvier 532, une course de chars fut organisée, mais la tension était à son comble en raison des récentes exécutions. Quelques jours plus tôt, deux hommes, l'un des Bleus et l'autre des Verts, avaient été condamnés à mort pour meurtre. La foule réunie à l'hippodrome exigea que Justinien pardonne les hommes, mais il refusa. Les deux factions, habituellement rivales, s'unirent dans leur colère contre l'empereur. Elles commencèrent à crier « Nika ! », ce qui signifie "La victoire!", appelant à la rébellion.

La révolte grandit
Les manifestations se sont rapidement propagées au-delà de l'hippodrome. Des foules en colère ont commencé à piller et à brûler des bâtiments dans tout l'établissement. ConstantinopleIls ont incendié des structures importantes, notamment le mosquée et des parties du palais impérial. La révolte a duré cinq jours, et la ville fut plongée dans le chaos. Les rebelles proclamèrent même un nouvel empereur, Hypatius, qui était un parent d'un ancien empereur.
Justinien et ses conseillers envisagent de fuir la ville. Cependant, sa femme, Impératrice Théodora, l'a exhorté à rester et à se battre. Elle a déclaré : « Le violet est un beau linceul funéraire », ce qui signifie qu'elle préférerait mourir en tant qu'impératrice plutôt que de s'enfuir.
Comment la révolte a été écrasée
Encouragé par Théodora, Justinien décide d'agir. Il fait appel à ses généraux, Bélisaire et Mundus, pour mettre fin à la révolte. Justinien ordonna aux rebelles de se rassembler dans l'Hippodrome, sous prétexte qu'il allait négocier. Une fois à l'intérieur, les généraux et leurs soldats encerclèrent la foule.
Les soldats ont attaqué et tué les rebelles piégés dans l'hippodrome. Les historiens pensent que 30,000 Des gens furent tués ce jour-là. La révolte fut écrasée et le règne de Justinien fut à nouveau assuré.
Courses de chars et factions (Les Bleus et les Verts)
Dans l’Empire byzantin, courses de chars n'étaient pas seulement des événements sportifs passionnants mais aussi importants pour politique. Les deux équipes principales, les Blues et de la Légumes verts, étaient plus que de simples factions raciales. Elles représentaient différentes parties de la société et jouaient souvent un rôle dans les luttes politiques de l'empire.
Rôle politique des Bleus et des Verts
Les Bleus étaient généralement soutenus par l'aristocratie et la classe supérieure aisée. Ils étaient davantage en phase avec le gouvernement et l'Église orthodoxe. En revanche, les Verts étaient populaires parmi les classes populaires, notamment les marchands et les artisans, et soutenaient parfois des idées plus radicales.
Les deux factions avaient une forte influence sur le peuple. Elles pouvaient rassembler de larges foules et faire pression sur l'empereur. Lors des courses de chars, l'hippodrome était rempli de chants et d'acclamations, mais il devenait également un lieu où les messages politiques étaient partagés. Si les gens n'étaient pas satisfaits du gouvernement, ils utilisaient souvent l'hippodrome pour protester.
Conflits entre les Bleus et les Verts
La rivalité entre les Bleus et les Verts a souvent conduit à GewaltVoici quelques exemples de leurs conflits :
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Bagarres de rue locales:Les factions s'affrontaient fréquemment dans les rues, se disputant le contrôle des quartiers. Ces combats tournaient parfois au drame, les partisans des deux camps s'attaquant les uns aux autres.
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Manifestations politiques:Les factions utilisaient également leur influence pour protester contre les politiques impériales. Si l'une des factions estimait que l'empereur favorisait l'autre, elle exigeait des changements, parfois par le biais de émeutes.
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La révolte de Nika (532):Le conflit le plus célèbre impliquant les Bleus et les Verts s'est produit pendant la Révolte de Nika. Au début, les deux factions se sont unies contre Empereur Justinien En raison des punitions sévères infligées à leurs membres, Justinien s'efforça de regagner le soutien des Bleus, ce qui lui permit de rester au pouvoir.

Pourquoi étaient-ils importants ?
Les Bleus et les Verts étaient plus que des fans de sport. Ils étaient comme les partis politiques Les Bleus étaient des représentants de l'Empire, qui pouvaient influencer les décisions de l'empereur. Ils représentaient la voix du peuple, notamment en temps de crise. Mais leur rivalité intense montrait aussi à quel point le factionnalisme pouvait être dangereux. Les conflits entre les Bleus et les Verts affaiblissaient parfois l'empire, entraînant une certaine instabilité.
En conclusion, les Bleus et les Verts étaient au cœur de la vie politique et des divertissements de Byzance. Leur présence à l'Hippodrome reflétait la structure sociale et politique complexe de l'empire, où même le sport pouvait façonner l'histoire.
Cérémonies impériales
L'hippodrome n'était pas seulement un lieu de sport ; c'était aussi un site important pour cérémonies impérialesLes empereurs utilisaient l'hippodrome pour montrer leur pouvoir et se rapprocher du peuple. Ils y organisaient de grandes processions, des défilés militaires et des célébrations publiques. L'une des cérémonies les plus remarquables était la Triomphe, où l'empereur défilait dans la ville après une victoire militaire. L'hippodrome était également un lieu où l'empereur pouvait se présenter devant le public pour recevoir ses acclamations ou répondre à ses préoccupations. Ces cérémonies renforçaient l'autorité de l'empereur et célébraient l'unité de l'empire.
Monuments
L'hippodrome était orné de nombreux monuments impressionnants monuments. Parmi les plus remarquables, on trouve les Colonne du serpent, un Obélisque de Théodoseainsi que, Colonne de Constantin PorphyrogénèteCes monuments célébraient les victoires de l'empire et le lien de la ville avec son passé antique. Spina, la barrière centrale de l'hippodrome, était décorée de statues et d'obélisques, mettant en valeur la richesse et la puissance de l'empire. Chaque monument avait sa propre histoire, souvent liée à des événements historiques importants ou à des réalisations impériales.
Monuments encore debout aujourd'hui
Bien que la majeure partie de l'hippodrome ait disparu, certains monuments importants sont encore visibles aujourd'hui, rappelant sa longue et riche histoire.
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Obélisque de Théodose
Le Obélisque de Théodose ou Obélisque égyptien est l'un des monuments les plus célèbres de la place Sultanahmet. Il a été réalisé en Égypte autour 1500 BC pour Pharaon Thoutmosis III. En 390 AD, Empereur Theodosius I l'a apporté à Constantinople. L'obélisque est fait de granit rose et mesure environ 25 mètres de haut, y compris sa base. La base présente des sculptures qui montrent Théodose et sa famille regardant des courses de chars. Ces images montrent également des ouvriers soulevant l'obélisque, ce qui nous aide à comprendre comment ils ont déplacé un objet aussi grand.
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Colonne du serpent
Le Colonne du serpent est un monument en bronze réalisé en Grèce in 479 BCIl a été créé pour célébrer la victoire des Grecs sur les Persans au Bataille de Platées. En 324 AD, Empereur Constantin Il l'a amené à l'hippodrome. La colonne est ornée de trois serpents tordus ensemble, mais les têtes de serpents ont maintenant disparu. Elle portait à l'origine un bol en or sur son sommet, qui a également disparu. La colonne du serpent est l'une des plus anciennes pièces d'Istanbul et montre le lien de la ville avec la Grèce antique.
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Obélisque fortifié
Le Obélisque fortifié, egalement connu sous le nom Colonne de Constantin Porphyrogénète, se trouve à l'extrémité sud de la place Sultanahmet. Contrairement à la Obélisque de Théodose, ce monument a été construit en Constantinople lui-même. Il a été construit dans le 10th siècle pendant le règne de L'empereur Constantin VII PorphyrogénèteL'obélisque est fait de blocs de pierre et était à l'origine recouvert de plaques de bronze, qui représentaient des scènes des victoires de l'empereur et des événements importants.
Malheureusement, les plaques de bronze ont été arrachées et fondues pendant la Quatrième croisade en 1204. Ce qui reste aujourd'hui est la structure de base, qui est autour 32 mètres Malgré son état endommagé, l'obélisque fortifié donne toujours aux visiteurs une idée de la grandeur qui définissait autrefois l'hippodrome.
Monuments aujourd'hui disparus
De nombreux monuments originaux de l'hippodrome n'existent plus. Ils ont été perdus au fil du temps à cause des guerres, des pillages et de la dégradation naturelle. Vous trouverez ci-dessous quelques-uns des plus remarquables.
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Statues d'empereurs et de dieux
L'hippodrome était décoré de nombreuses statues de Empereurs romains, dieux grecs et hérosCes statues étaient faites de bronze, de marbre et d'autres matériaux précieux. Elles ont été détruites ou fondues à différentes époques, notamment pendant la Quatrième croisade et de la L'ère ottomaneAujourd’hui, seuls des fragments de ces statues subsistent, dispersés dans des musées en Turquie et en Europe.
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Les décorations de la Spina
Le Spina, la barrière centrale de l'hippodrome, était autrefois couverte de belles statues, de fontaines et d'obélisques. Ces décorations comprenaient des images de batailles célèbres, des histoires mythologiques et des symboles de la puissance de l'empire. Au fil des siècles, la plupart d'entre elles ont été supprimées ou détruites, et la Spina elle-même n'existe plus.
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Kathisma (Loge de l'Empereur)
Le Kathisme C'était une loge spéciale où l'empereur et sa famille s'asseyaient pour assister aux courses et aux cérémonies. Elle était richement décorée d'or et de mosaïques. Cette structure était également reliée directement au palais impérial. Aujourd'hui, il ne reste aucune trace du Kathisma, mais il constituait autrefois une partie importante de la conception de l'hippodrome.
L'hippodrome à l'époque ottomane
Le Hippodrome de Constantinople, autrefois une grande arène pour les courses de chars et les cérémonies impériales, a pris un rôle différent après la Empire ottoman conquis la ville en 1453Bien que les Ottomans n'aient pas continué la tradition byzantine des courses de chars, l'hippodrome est resté un espace public important Istanbul, reflétant la riche histoire de la ville.
Transformation après la conquête
Lorsque Sultan Mehmed II Après avoir conquis Constantinople, il reconnut l'importance historique et culturelle de l'hippodrome. Cependant, au XVe siècle, une grande partie de sa structure d'origine était déjà en ruine en raison de la négligence et des dommages causés par les guerres précédentes, notamment la Quatrième croisade in 1204.
Les Ottomans n'ont pas reconstruit l'hippodrome pour des courses ou des divertissements publics, car cela ne faisait pas partie de leur culture. Au lieu de cela, le site a été utilisé comme un place publique, où se déroulaient d'importants événements et rassemblements. La zone autour de l'hippodrome est devenue le foyer de certaines des structures ottomanes les plus célèbres, telles que le Mosquée bleue (Mosquée du Sultan Ahmed), construite au début du XVIIe siècle.
Cérémonies et célébrations
Les Ottomans utilisaient l'hippodrome, aujourd'hui connu sous le nom de À Meydanı (Place du Cheval), pour divers événements publics :
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Fêtes et défilés:La place a accueilli de grandes célébrations, notamment fêtes de circoncision pour les fils des sultans. Ces événements étaient remplis de musique, de nourriture et de divertissements publics.
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Défilés militaires:Les armées ottomanes victorieuses défilaient parfois sur la place après leur retour de campagnes réussies.
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Les peines publiques:Les Ottomans utilisaient également cet espace pour des exécutions et des punitions publiques, ce qui en faisait un lieu où la justice était vue par tous.
Monuments de l'époque ottomane
Bien que les Ottomans n'aient pas construit de nouvelles structures dans l'hippodrome, ils ont préservé certains des monuments anciens :
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L'obélisque de Théodose, Colonne du serpent et Obélisque fortifié est resté debout et est devenu partie intégrante de l'identité de la place.
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In 1898, sous le règne de Sultan Abdul Hamid II, un Fontaine allemande a été ajouté. C'était un cadeau de Kaiser Wilhelm II de l'Allemagne et symbolisait l'amitié entre l'Empire ottoman et l'Allemagne.
Déclin et préservation
Au fil des siècles, l'hippodrome a continué à servir d'espace public, mais son état s'est progressivement dégradé. À la fin de la période ottomane, une grande partie de son histoire a été oubliée et certaines parties de la place ont été utilisées pour des activités quotidiennes comme les marchés. Cependant, l'intérêt pour la préservation du site a augmenté au XIXe siècle, lorsque les historiens et les archéologues ont commencé à reconnaître son importance.
Visite de l'Hippodrome aujourd'hui
Le Hippodrome de Constantinople était autrefois une grande arène remplie des acclamations de milliers de personnes assistant aux courses de chars et aux cérémonies impériales. Aujourd'hui, elle est connue sous le nom de Place Sultanahmet, un espace public au cœur de Istanbul, où les visiteurs peuvent encore ressentir les échos de son passé glorieux. Faisons un voyage à travers ce qui reste et ce que vous pouvez voir lorsque vous visitez le site.
Lorsque vous entrez dans la place Sultanahmet, vous marchez sur le même terrain où les empereurs, les athlètes et les spectateurs se rassemblaient il y a des siècles. Bien que la structure massive de l'hippodrome n'existe plus, certains monuments importants ont survécu.
Ce que vous pouvez voir
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Obélisque de Théodose
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Colonne du serpent
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Obélisque fortifié
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Fontaine allemande
Imaginer le passé
En vous tenant sur la place Sultanahmet, il est facile d'imaginer à quoi ressemblait l'hippodrome à son apogée. L'arène aurait été remplie d'excitation alors que les chars couraient autour de l'hippodrome Spina, la barrière centrale. Des milliers de spectateurs ont applaudi leurs équipes préférées, les Blues et de la Légumes verts, tandis que l'empereur regardait depuis sa loge spéciale, le Kathisme.
La place était également le lieu d'événements importants. Les empereurs y organisaient des défilés et des célébrations, et elle était parfois le théâtre de manifestations et de soulèvements, comme la Révolte de Nika in 532 AD.
Pourquoi visiter l'Hippodrome ?
Visiter l'Hippodrome ne se résume pas seulement à admirer des monuments anciens. C'est aussi l'occasion de se tenir dans un lieu où l'histoire s'est écrite. Vous pourrez en apprendre davantage sur le passé byzantin de la ville et sur la façon dont il a façonné l'Istanbul moderne. L'Hippodrome vous met en contact avec la vie des gens qui ont vécu ici il y a des siècles, des empereurs aux citoyens ordinaires.
Aujourd'hui, la place Sultanahmet est un quartier paisible où vous pourrez vous promener, prendre des photos des monuments et réfléchir à la riche histoire de ConstantinopleC'est une visite incontournable pour quiconque s'intéresse à l'histoire fascinante de cette ville antique.
Comment se rendre à l'hippodrome (place Sultanahmet) – Guide étape par étape
Le Hippodrome, maintenant appelé Place Sultanahmet, est l'un des monuments les plus célèbres d'Istanbul. Il est situé au cœur de la Vieille ville, à proximité d'autres attractions majeures comme le mosquée , Mosquée bleue et Palais de TopkapiVoici un guide détaillé sur la façon de vous y rendre, même si vous n'avez jamais visité Istanbul auparavant.
1. En tramway (la meilleure option pour les touristes)
Le moyen le plus pratique et le plus touristique pour se rendre à la place Sultanahmet est d'utiliser le Ligne de tramway T1.
Étape:
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Trouvez le plus proche Station de tramway T1Les stations populaires incluent :
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Kabataş (si vous venez du quartier du Bosphore ou de Taksim via le funiculaire).
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eminonu (près du pont de Galata et du bazar aux épices).
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Sirkeci (à proximité de la gare et des terminaux ferry).
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Montez à bord d'un tramway en direction de Bagcilar (vérifiez la direction).
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Descendre à Station de tramway SultanahmetCet arrêt est clairement indiqué et annoncé sur le tram.
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Après être descendu du tram, suivez les panneaux indiquant mosquée or Place SultanahmetC'est juste un 2 minutes à pied de la gare.
2. En métro et en tramway (depuis l'aéroport d'Istanbul)
Si vous arrivez à Aéroport d'Istanbul, vous pouvez combiner le métro et le tram pour un itinéraire efficace.
Étape:
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Prenez une Ligne de métro M11 de Aéroport d'Istanbul à la Gare de Kağıthane.
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Transfert vers le Ligne de métro M7 et voyager à Gare de Kabataş.
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Depuis Kabataş, passez à la Ligne de tramway T1 direction Bagcilar.
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Descendre à Station de tramway Sultanahmet et marche jusqu'à la place.
3. En navette Havaist (depuis l'aéroport d'Istanbul)
Une autre option pratique de Aéroport d'Istanbul est le Navette Havaist après-vente.
Étape:
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Recherchez le Navette Havaist marqué SultanahmetCes bus sont modernes, confortables et conçus pour les touristes.
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La navette vous emmènera directement à la place Sultanahmet. Le trajet dure environ 60-90 minutes, en fonction du trafic.
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Une fois arrivé, suivez les indications jusqu'à la place principale.
4. Depuis l'aéroport Sabiha Gökçen
Si vous arrivez à Aéroport Sabiha Gökçen (sur la rive asiatique d'Istanbul), suivez ces étapes :
Option 1 : Navette + Métro + Tram
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Prenez une Navette Havabus à Kadikoy.
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Depuis Kadıköy, prenez le Ligne de métro M4 à Gare d'Ayrılık Çeşmesi.
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Transfert vers le Marmaray train vers Gare de Sirkeci.
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À Sirkeci, passez à la Ligne de tramway T1 et descendre à Station de tramway Sultanahmet.
Option 2 : Navette directe
Certain navettes privées Les trains partent directement de Sabiha Gökçen pour Sultanahmet. Ils sont plus chers mais plus rapides et plus faciles.
5. En taxi
Prenez un taxi est une option directe mais plus coûteuse.
Étape:
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De n'importe où à Istanbul, demandez au chauffeur de vous emmener à Place de Sultanahmet. Assurez-vous de préciser Place Sultanahmet pour éviter toute confusion.
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Assurez-vous que le compteur du taxi fonctionne. Un trajet de Aéroport d'Istanbul coûte environ ESSAI 600-800, en fonction du trafic.
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Le chauffeur vous déposera près de la place, généralement à proximité de la Mosquée bleue or mosquée .
6. À pied (pour les endroits à proximité)
Si vous séjournez dans ou à proximité de Région de Sultanahmet, vous pouvez facilement vous rendre à pied à l'Hippodrome.
Étape:
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Suivez les panneaux ou utilisez une application cartographique pour vous diriger vers Place Sultanahmet.
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Recherchez des points de repère tels que le Mosquée bleue or mosquée L'Hippodrome se trouve juste entre ces deux bâtiments célèbres.
Des repères pour vous aider à vous orienter
Une fois arrivé à la place Sultanahmet, il est facile de trouver l'hippodrome grâce à ces points de repère à proximité :
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mosquée :Au nord de la place.
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Mosquée bleue:À l'ouest, juste en face de Sainte-Sophie.
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Fontaine allemande:Un petit pavillon près de l'extrémité sud de l'hippodrome.
Si vous voyez ces points de repère, vous êtes déjà à l'Hippodrome !